Spectacle
Florian Schroeder
Florian Schroeder
Samstag, 10.05.2025 / 19:30 h / Paulussaal Freiburg
Le nouveau programme de Florian Schroeder
Jusqu'à présent, beaucoup de gens ne savaient pas où se situait Florian Schroeder. Maintenant, il ne le sait plus lui-même. Mais il sait une chose : il est heureux de l'être. Et il veut que tu sois heureux toi aussi. Car être heureux est la plus grande, et peut-être la dernière provocation qui reste à une époque où tout le monde se surpasse en grognant, en râlant, en criant, en pestant.
Quand les fous furieux répandent la peur et la terreur, quand l'apocalypse arrive trois fois par jour, il faut quelqu'un comme lui qui donne simplement du courage. Enfin heureux - tel est le mantra de Schroeder. Bien sûr, le monde est en train de s'écrouler - mais pas le sien. Et le tien ne doit pas l'être non plus.
Chez Schroeder, tout va bien : Tout va bien, tout est sûr, tout est en double ou en triple exemplaire. Le contrat d'épargne-logement, l'assurance-vie, la petite amie. Quand on a autant de chance, on veut aussi la partager - mais pas avec tout le monde et pas avec n'importe qui - donc déjà pas dans les médias sociaux. Mais avec des amis - car les amis se disent tout. Avec eux, tu peux rire et pleurer, fêter et pleurer. Ils te prennent dans leurs bras et te disent la vérité - même si cela fait mal. Florian Schroeder veut être ton ami.
Ce n'est qu'ensemble que nous sommes forts, ce n'est qu'ensemble que nous pouvons vaincre le mal qui existe là-bas. Florian Schroeder veut te montrer comment être heureux - et pas dans deux semaines, deux mois ou deux ans, mais dans deux heures. Pourquoi attendre encore ? Le moment est maintenant.
Mais combien de temps cela dure-t-il ? Le bonheur n'est-il pas lui aussi fini ? Et qu'est-ce qui vient après ? C'est ce à quoi Schroeder va te répondre.
ENDLICH GLÜCKLICH - un spectacle pour tous et pour chacun.
"Florian Schroeder est auteur, présentateur et provocateur dans son métier principal". Süddeutsche Zeitung
plus d'infos : https://florian-schroeder.com/
photo : Frank Eidel