Les notes de bas de page ne sont pas des zones réflexes - Piano cabaret

Certaines remarques ne se trouvent pas dans le texte. L'épine en petits caractères derrière le compliment, le titre euphorique avec un arrière-goût d'ironie. Les points de vue d'Anne sont singuliers et se présentent avec légèreté, mais en profondeur. Avec humour et ironie, elle chante dans le style de Rosamunde Pilcher contre les grands groupes, sur le bonheur de voler quand les jambes sont bien ancrées au sol, parodie clairement l'Étincelle des dieux de Beethoven dans des conditions de lockdown et d'esprit de vin, fait expliquer à Doremi, l'influenceuse de son premier programme "Selbstläufer", dans le nouveau tutoriel quels intervalles sont adaptés au jeûne et pourquoi le triton n'est pas une noix. Ce faisant, elle impressionne par ses compétences musicales. Lorsque "Paint it Black" des Rolling Stones sonne comme Chostakovitch et Brahms ou que les courses du "Robert volant" se poursuivent sur le clavier, elle sort son diplôme de concertiste de son sac et provoque la stupéfaction du public du cabaret. En effet, Madame Folger s'est beaucoup entraînée au piano ! Dans la maison Beethoven du château Belvédère de Weimar, couloir du bas, deuxième porte à gauche ; dans les discothèques enfumées de la RDA ; dans la maison de Goethe sous le portrait de l'Italie ; ou dans l'ancien hôpital de la police du peuple avec sa salle de torture. C'est une soirée avec des histoires, des chansons magnifiquement arrangées et beaucoup d'humour qui vous attend. La presse écrit alors : "Inimitable et entraînant", "Avec l'esprit du temps et un appel démystificateur", "Le public a ri aux larmes". L'artiste n'écrirait pas cela sur elle-même, mais elle trouve aussi que c'est très bien.